Du 3 au 6 juin 2024, le 58e congrès annuel de la Société canadienne de météorologie et d’océanographie s’est tenu virtuellement avec l’aide du Centre de Winnipeg et du Centre de l’intérieur de la Colombie-Britannique et du Yukon.
– Par Prof. James R. Drummond, FRSC, Département de physique et des sciences de l’atmosphère, Université Dalhousie –
Le projet MOPITT (Mesures de la pollution dans la troposphère) existe depuis plus de 30 ans et, le 18 décembre 2019, nous célébrons le 20e anniversaire du lancement de l’instrument satellitaire MOPITT. Pourquoi MOPITT est-il important?
MOPITT mesure le monoxyde de carbone (CO) dans la troposphère (c’est-à-dire la région depuis le sol jusqu’à environ 15 km). Soulignons qu’il s’agit de monoxyde de carbone et non de dioxyde de carbone.
La ténacité a ses avantages, surtout si elle est bien intentionnée : Analyse objective des services météorologiques que fournit Environnement Canada. Ce qui suit a été rédigé en 2004 afin de soulever certaines lacunes perçues. La qualité et la quantité des radars augmentaient et beaucoup d’applications essentielles pour cette information en plein essor se révélaient. En voici quelques-unes. D’autres restent dans la file d’attente, prêtes à être mises en œuvre. Quinze années plus tard, je n’abandonne toujours pas. Une nouvelle génération de radars en bande S est en cours de déploiement partout au Canada.
Wayne Evans (Ph. D.), professeur associé au Centre for Research in Earth and Space Science (CRESS) de l’Université York depuis 1976, est décédé à Seattle (Washington) le 27 avril 2019. Bien qu’il n’ait jamais fait partie du corps professoral permanent de l’Université York, il a continué de collaborer avec le CRESS et a beaucoup contribué à ses activités de recherche, tout en travaillant au sein d’Environnement et Changement climatique Canada et à l’Université Trent.
La lune a été et demeure toujours un centre de grand intérêt dans le champ des sciences planétaires. En raison de son atmosphère extrêmement mince (typiquement, vous ne trouverez pas plus d’un million de molécules par centimètre cube tandis que sur Terre,
– par J.E. Moores, C.L. Smith and C.L. Campbell, L’Université York –
John Moores, professeur à l’Université York, et Christina Smith, boursière de recherches postdoctorales, discutent allègrement de la science atmosphérique sur la planète Mars. Cette équipe canadienne de chercheurs sont à l’avant-garde de la recherche atmosphérique planétaire en tant que membres de l’équipe scientifique Curiosity Rover ayant la responsabilité d’employer les caméras du rover afin d’observer la météorologie de la planète rouge.