Le professeur Timothy (Tim) R. Parsons (OC, FSRC) est décédé à l’hôpital le 11 avril 2022, entouré de sa famille. Tim était l’un des plus éminents spécialistes des sciences de la mer au Canada et il a reçu de nombreux prix et honneurs nationaux et internationaux.
La tropopause est une transition entre la troposphère et la stratosphère qui la surplombe. La température de l’air baisse avec l’altitude de la surface à la tropopause parce que la surface est une source de chaleur, tandis qu’au-dessus de la tropopause, la température de l’air augmente avec l’altitude parce que la couche d’ozone dans la stratosphère moyenne est une deuxième source de chaleur. Autrement dit, la tropopause est une altitude où la température atteint généralement un minimum. Dans certains cas particuliers, la température baisse à nouveau avec l’altitude au-dessus de la tropopause, puis augmente avec l’altitude, formant ainsi une deuxième tropopause. Dans de rares cas, une troisième tropopause peut se former. Nous ne considérons ici que la première tropopause. La hauteur de la tropopause (H) varie considérablement dans l’espace et dans le temps. En général, elle est la plus élevée sous les tropiques et diminue avec la latitude.
Un statisticien et un physicien discutaient d’une expérience autour d’une théière, lorsque cet échange hypothétique eut lieu : « Je sais que nous travaillons dans les bonnes unités, mais pensez-vous que certaines de nos mesures sont non linéaires? » Perplexe, le physicien prend une gorgée avant de répondre : « Vous voulez dire que des mesures individuelles pourraient être non linéaires? Est-ce que ça existe? »
L’interface glacier-océan est un élément dynamique des systèmes de glaciers et de fjords. Tous les glaciers, qu’ils soient terrestres ou marins, perdent de la masse en raison de la fonte, mais ceux qui se terminent dans l’océan en perdent aussi en raison du vêlage des icebergs. Les courants océaniques peuvent apporter de l’eau chaude et accélérer le retrait des glaciers qui se terminent dans l’océan, tandis que les glaciers peuvent apporter à l’océan des eaux de fonte riches en nutriments et augmenter localement la productivité biologique.
Notre planète se réchauffe, ce qui aura de profondes répercussions sur les écosystèmes et les espèces qui en dépendent, y compris nous. Le risque pour les écosystèmes à teneur élevée en carbone et l’amplification potentielle du réchauffement climatique résultant de la libération de gaz à effet de serre (GES) par ces écosystèmes ont été mis en évidence, notamment pour les tourbières.
La première activité conjointe entre Projet WET Canada de l’ACRH et la Société canadienne de météorologie et d’océanographie (SCMO) a pris la forme d’un atelier d’une journée à la conférence de l’Association of Science Teachers à Halifax en octobre 2021. L’organisation et la coanimation du volet Project WET 2.0 ont été assurées par Lizabeth Nicholls et Maxine Koskie de Projet WET de l’ACRH en collaboration avec trois membres du conseil exécutif national de la SCMO demeurant à Halifax soit Jim Abraham, Serge Desjardins et Aldona Wiacek.
Les stations d’observation de l’épaisseur de la neige d’Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) représentent le principal réseau d’observation de l’épaisseur de la neige en surface au Canada, fournissant des données météorologiques et climatologiques cruciales.