– Par des contributeurs d’Environnement et Changement climatique Canada, the Arctic and Antarctic Research Institute, the Hydrometeorological Centre of Russia, The Norwegian Meteorological Institute, Finnish Meteorological Institute, World Meteorological Organization, Climate Prediction Center, et National Oceanic and Atmospheric Administration –
CONTEXTE
Le rythme d’augmentation des températures dans l’Arctique est plus de deux fois supérieur à la moyenne mondiale. Depuis les quatre dernières années (2016 à 2019), les températures annuelles de l’air à la surface dans l’Arctique (60°–85°N) ont été les plus chaudes de la série chronologique d’observations pour la période de 1936 à 2019.
Par Diar Hassan (Wood PLC, Ottawa ON), George Isaac (Weather Impacts Consulting Inc., Barrie ON), Peter Taylor (York University, Toronto ON), Daniel Michelson (Environnement et Changement climatique Canada – ECCC), et Norman Donaldson (ECCC).
C’est un fait qu’il neige souvent à Terre-Neuve-et-Labrador, mais le 17 janvier 2020, la situation a été un peu extrême (figure 1). Les rapports METAR de l’aéroport de St John’s, CYYT, révélaient une chute de neige de 35 cm entre 1200 et 1800 UTC et une accumulation additionnelle de 19 cm dans les six heures suivantes. Ces mesures de l’épaisseur de neige concordent avec de nombreuses autres dans la région.
– Par des contributeurs de l’Environnement et Changement climatique Canada, l’Université du Québec at Montréal, l’Institut de l’Arctique et l’Antarctique, le Centre hydrométéorologique de Russie, l’Institut météorologique norvégien, l’Institut météorologique finlandais, l’Organisation météorologique mondiale, le Centre de prévision du climat, et l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique –
Faits saillants
L’état des glaces inférieur à la normale à près de la normale pendant l’hiver 2019-2020 partout en Arctique est le résultat, entre autres, de températures de l’air en surface supérieures à la normale au-dessus de l’Eurasie et de l’océan Arctique.
– By Richard Leduc, Ph.D., AirMet Science Inc., and Jean-François Brière, Ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques
Le modèle de dispersion AERMOD de l’US-EPA (2019a) est largement utilisé pour évaluer la concentration des contaminants dans l’air ambiant suite aux émissions d’une source. À cette fin, le modèle AERMOD requiert des variables micrométéorologiques caractérisant la turbulence (u*, w*, L, zic, zim); elles sont calculées par le module AERMET et obtenues à l’aide de données locales de surface (vent, température et opacité de la couverture nuageuse) et en altitude;
– Par Bryan Smith –
Quelle est la précision des données météorologiques du Canada? Le cas de la température la plus basse jamais enregistrée en Ontario laisse planer des doutes.
Les Canadiens peuvent consulter gratuitement l’une des plus importantes bases de données climatiques dans le monde, les données remontant aussi loin que 1840.
Chers amis et collègues de la SCMO,
Le mois de juin marque la fin de mon année comme présidente de la SCMO. Ce fut un honneur pour moi d’assumer ce rôle, qui a été à la fois fécond en événements et enrichissant, notamment au cours des derniers mois. Je tiens à remercier sincèrement le personnel de la SCMO, le conseil d’administration, les cadres, les présidents des centres et des comités de même que les membres, pour leur soutien et l’ensemble de leur contribution à la SCMO durant l’année qui vient de s’écouler.
Nous assistons avec angoisse aux résultats violents et mortels du racisme anti-Noirs endémique au sein des organisations chargées du respect de la loi aux États-Unis, au Canada et dans le monde entier. Les hommages rendus à George Floyd ainsi que les protestations contre la brutalité policière et le racisme qui se déroulent aux États-Unis et au Canada ont projeté cet enjeu au premier plan de l’opinion publique et nous rappellent les injustices systémiques que subissent les communautés noires.
OTTAWA, le 12 juin 2020 – Dans le cadre de son Congrès nouveau genre virtuel et nous menant à l’assemblée générale annuelle (AGA), la Société canadienne de météorologie et d’océanographie (SCMO.ca) est heureuse d’annoncer que dix scientifiques, universitaires et chercheurs canadiens ont été reconnus pour leurs réalisations exceptionnelles permettant l’avancement des connaissances et la compréhension des sciences atmosphériques, de l’hydrologie, de la météorologie et de l’océanographie.