– Par René Laprise and Julie Mireille Theriault –
Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère, Université du Québec à Montréal (UQAM), laprise.rene@uqam.ca, theriault.julie@uqam.ca
Le nombre d’inscriptions aux programmes de sciences de l’atmosphère s’avère plutôt faible dans les universités canadiennes. La situation à l’UQAM ne fait pas exception. La rentabilité insuffisante de ces programmes menace la viabilité à long terme de la formation de spécialistes dans les domaines liés à l’atmosphère